POESIE

Nombre de messages : 29 Date d'inscription : 30/03/2006

Mon tronc dans le sol planté
Ma cime dans le ciel élevée
Rigide et d'un port altier
Je suis un arbre de la forêt

Mes branches multiples et vigoureuses
Autour de moi elles s'étalent
Pour former un large couvert végétal
Par mes rameaux d'une densité généreuse

Mes feuilles d'un vert éclatant
Sous une légère brise frémissant
Par un pétiole à la branche s'accrochant
Nervure et limbe ondoyant

Dans son état rudimentaire
Le bourgeon en écailles colorées
Floral ou de croissance ébauché
D'un enduit cireux il est recouvert

Plus souvent ils sont ronds
Verts, rouges, noirs, jaunes ou blonds
Mes fruits sont toujours bons
Quantité ou qualité je suis fécond

Tu crains le soleil ou la pluie ?
Sous moi viens à l'abri
Toi, l'oiseau fais ton nid
Et de mon suc délectes toi si tu es fourmi

J'ai toujours vécu là
Ainsi que d'autres avant moi
Depuis des temps lointains
Ici c'est mon domaine, mon terrain

Faisons un chemin de vie ensembles
Toi l'humain, moi le végétal
Nous sommes liés il me semble
Ne m'impose pas un destin fatal.

Adhafal a écrit:: Mon tronc dans le sol planté
Ma cime dans le ciel élevée
Rigide et d'un port altier
Je suis un arbre de la forêt

Mes branches multiples et vigoureuses
Autour de moi elles s'étalent
Pour former un large couvert végétal
Par mes rameaux d'une densité généreuse

Mes feuilles d'un vert éclatant
Sous une légère brise frémissant
Par un pétiole à la branche s'accrochant
Nervure et limbe ondoyant

Dans son état rudimentaire
Le bourgeon en écailles colorées
Floral ou de croissance ébauché
D'un enduit cireux il est recouvert

Plus souvent ils sont ronds
Verts, rouges, noirs, jaunes ou blonds
Mes fruits sont toujours bons
Quantité ou qualité je suis fécond

Tu crains le soleil ou la pluie ?
Sous moi viens à l'abri
Toi, l'oiseau fais ton nid
Et de mon suc délectes toi si tu es fourmi

J'ai toujours vécu là
Ainsi que d'autres avant moi
Depuis des temps lointains
Ici c'est mon domaine, mon terrain

Faisons un chemin de vie ensembles
Toi l'humain, moi le végétal
Nous sommes liés il me semble
Ne m'impose pas un destin fatal.

Cette poème est-elle de toi? sinon tu peux ns donner ta source cher ami?

Nombre de messages : 29 Date d'inscription : 30/03/2006

Ce poème est, bien entendu, de ma composition. Je ne me permettrai pas d'insérer un poème de quelqu'un d'autre sans le citer.
Voilà ma chère Administratrice. J'espère que êtes rassurée.

Adhafal a écrit:: Ce poème est, bien entendu, de ma composition. Je ne me permettrai pas d'insérer un poème de quelqu'un d'autre sans le citer.
Voilà ma chère Administratrice. J'espère que êtes rassurée.

j'étais sur de ça mais juste g voulu une réclamation pour ne pas tomber ds les copyright aprés et dans les copyright samara

ey may7ebouch les copieurs
et fissa3 yebdew yebkiw rahou
attention samara

Aucun poème ne sera si grand, si noble, si véritablement digne du nom de poème, que celui qui aura été écrit uniquement pour le plaisir d'écrire un poème. Shocked

la vie d’un biscotte
qui a bcp la parlotte
pas plus grande qu’une cocotte
mais fiere comme une mascotte
reste la petite jeunotte
nen ai pas pas pour autat une sotte

Quelques lignes
C’est sur quelques lignes
Que j’aligne
Mes désirs
Mes envies
De vouloir te dire
Un mot qui se veut délice
Pour des sourires
Pour des plaisirs
Mais ai-je droit de te le dire
Sans que tu piques une crise de rire
Alors je te dis merci
De ces quelques lignes
Sans te l’avoir dis
Mais à voir ta malice
Je sais que tu as compris
Ce que j’avais à te dire
Alors c’est sans bruit
Que je me retire
Et que je te le dis

Eaux vives

Dans la profondeur de tes yeux,
Je me glisse, je me perds, je me noie,
Je respire ton regard précieux,
Je suffoque et je m’enivre de toi,

Agrippée à la bouée de tes lèvres,
J’avale l’eau salée de tes mots,
Jusqu’à ce que j’en crève,
Je nagerai dans tes flots,

Parmi les chutes de ton coeur,
Je plonge et j’éclabousse,
Tes sentiments tapageurs,
En un battement, une secousse,

Sur la rivière de ton amour,
Je voguerai sur tes eaux vives,
Jusqu’à mon tout dernier jour,
Jusqu’à ce que de toi, je sois ivre…

Je vous ai aperçue
Je vous ai aperçue toute nue
Au bord de cet étang biscornu
Splendeur des beautés
J’ai même cru avoir rêvé
Et j’ai clos mes yeux
De peur d’être ensorcelé
Devant vos corps délicieux
J’ai entendu votre mélodie
Harmonie des harmonies
Et j’ai entendu mon cœur
Battre avec ferveur
J’ai fermé mes yeux
Pour m’imprégner au mieux
J’ai bouché mes oreilles
Aux sons sensuels
J’ai endurci mon cœur
Par pure pudeur
Et j’ai étouffé mon désir
De vous sourire
J’ai tourné le dos
A ce qu’il y a de plus beau
A l’imaginaire que j’avais crée
Depuis que je suis né
J’ai tourné le visage
De ce que je croyais un mirage
Et j’ai pris cette route qui m’attend
Après le tournant
J’ai fixé mon regard
Complètement hagard
Sur la route qui m’attend
Droit devant
Vers les cimes que j’aperçois
Et vers la mort que je trouverai.